Une aubaine pour les vacances de la Toussaint
Le jeu Nutri-lunch pour apprendre à nos enfants les bases d’une bonne alimentation ! Le plus complet et le plus pertinent que j’ai pu trouver ! Cliquez ici
Afin que vous puissiez TESTER LE JEU et voir s’il vous plait et plairait à votre enfant, vous pouvez consulter :
– la fiche d’introduction accompagnée du message adressé au petit aventurier :
Bienvenue au royaume Nutri-Lunch
– un exemple de défi :
Défi 11 : Lollipop Caseus
Notre interview
Sarah (S) : Salut les parents ! C’est Sarah Carpentier du blog des-outils-pour-apprendre.
Nathalie (N) : Et Nathalie du blog NutriMomes. Aujourd’hui, on va vous parler de la fabuleuse aventure culinaire Nutri-lunch avec leur petite magicienne Louison.
S : Restez avec nous parce que vous allez comprendre comment vous pouvez apprendre à vos enfants à s’alimenter sainement tout en s’amusant.
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S : Nous avons retiré les chapeaux, n’est-ce pas ? Pour ne pas que nos enfants nous en veuillent d’avoir été dans le bac à déguisement. Alors aujourd’hui je vais vous présenter un jeu que j’ai trouvé qui est génial. Je cherche depuis très longtemps quelque chose qui puisse permettre à mes enfants d’apprendre sur l’alimentation. Il est clair que si vous allez sur le blog des-outils-pour-apprendre, vous allez voir qu’il y a des articles qui abordent le thème de l’alimentation surtout l’alimentation en relation avec les capacités cognitives (donc il faut savoir que l’alimentation a énormément d’impact sur l’apprentissage de nos enfants, sur leur capacités à être attentifs, sur la prise de décision, sur un tas de choses). Mais au-delà de vouloir simplement surveiller l’alimentation des enfants – vouloir remplacer certains aliments par d’autres – il est important aussi de rendre nos enfants autonomes et responsables par rapport à ce sujet-là puisqu’évidemment leur apprendre à s’alimenter correctement ça va leur servir toute leur vie et ça va préserver leur capacité d’apprentissage tout leur vie.
Donc depuis très longtemps je suis à la recherche d’un jeu et je suis tombé sur quelque chose d’assez extraordinaire. Il y a ce fameux jeu de la petite magicienne Louison qui, par différentes activités, va apprendre énormément de choses sur l’alimentation. Pas simplement de nouvelles recettes mais je vous expliquerais après beaucoup de choses qui ont une égale importance au choix des aliments par exemple.
Alors maintenant je vais laisser parler Nathalie pour qu’elle puisse présenter son jeu et aussi … finalement, Nathalie, d’où est venue l’idée de ce jeu ? Parce que finalement j’ai l’impression que très peu de personnes ont eu cette idée alors que pour moi c’est tellement indispensable.
N : Avec mon amie associée Lucile du blog Super boîte à lunch, on a décidé d’aider les parents à mieux nourrir leurs enfants. Et après avoir fait un livre sur l’organisation, une formation où on incluait l’enfant, on s’est dit qu’est-ce qu’on peut mettre en place pour vraiment inclure l’enfant dans le changement d’alimentation. Et donc on s’est dit « quoi de mieux que le jeu » et on a vraiment créé cette aventure de 15 petites activités à réaliser avec son enfant pour l’intégrer en cuisine et lui faire découvrir tout l’autre côté de l’alimentation qui n’est pas juste le parent qui amène le plat à table avec des choses bizarres, déjà coupés que l’enfant n’aime pas toujours. Et donc c’est vraiment là-dessus qu’on s’est tournée.
S : Je dois avouer qu’à partir du moment où l’on essaie de rendre l’enfant acteur d’un apprentissage, déjà c’est quelque chose qui attire tout de suite mon regard parce que ce n’est pas très fréquent dans un jeu, ce n’est pas très fréquent non plus dans la façon dont on aborde quelque part l’accompagnement de nos enfants en général. En général, on a tendance à un peu le faire à leur place. C’est vraiment le cas de le dire : mettre le plat devant eux et voilà. Non vraiment ici le côté qui moi m’a le plus marqué dans ce jeu-là c’était la responsabilisation. Et ce qui m’a marqué aussi c’est que souvent lorsqu’on parle d’alimentation et qu’on intègre l’enfant, qu’on essaie de le faire participer, souvent on va se dire : ok, le jeu ça va être quoi ? Ça va être … hum … voilà faire des recettes avec l’enfant, faire la cuisine avec l’enfant et ça va un peu se limiter à ça. Il va apprendre à faire quelques recettes, ça va être amusant, etc… mais ça va se limiter à ça.
Or en ce jeu en fait, on retrouve plein de choses différentes. Il n’y a pas uniquement le côté alimentation choix des aliments, il y a aussi par exemple le côté préparation des aliments. Donc récemment j’ai fait l’interview de quelqu’un qui est vraiment expert dans tout ce qui est nutrition, alimentation saine, etc… Et ce qui m’avait vraiment étonné c’est que oui très bien, on peut être une maman et se dire : je vais acheter dans un magasin bio une huile végétale avec des omega3 parce qu’on sait que les omega3 c’est très important pour le cerveau, etc… Oui, mais si on rentre avec sa bouteille d’huile omega3 et qu’on la laisse à température ambiante, ouverte et bien finalement en fait cette huile va devenir toxique pour le corps. Et donc là il y a tout un côté aussi, en plus du choix des aliments ou du fait de faire une recette avec l’enfant ou une préparation avec l’enfant, il y a le fait d’expliquer à l’enfant : attention parce que toutes les modes de cuisson ne sont pas équivalents, attention aux ustensiles aussi que tu vas utiliser, attention à peut-être différents types d’aliments (des aliments vivants, des aliments moins vivants). Donc vous avez toute une partie du jeu qui concerne par exemple la germination si je ne me trompe pas. Donc vraiment il y a une très grande variété de choses qui vont être apprises à l’enfant et ça je pense aussi que c’est la grande originalité de votre jeu à toutes les deux.
N : Ouais. On a essayé de … en fait dans les magasins on voit souvent des livres de cuisine pour enfants. Par exemple 10 ou 15 recettes très basiques, très sucrées et ça se limitent à ça. Et donc on a essayé de faire vraiment quelque chose de varié entre faire pousser des choses, entre résoudre les énigmes, entre cuisiner et des pâtisseries et des dîners, intégrer les légumes et donc vraiment un panel de différentes activités pour que l’enfant voit tout et qu’il commence à apprécier les légumes, à se rendre compte « mais qu’est-ce que les légumes entiers ? Comment je peux le couper ? Comment je peux l’intégrer ? Ah finalement ben il n’est pas aussi mauvais que je le pensais ». Et donc vraiment le familiariser avec plein d’ingrédients différents.
S : Ok. Moi je dois avouer que j’ai noté pas mal de choses. Je suis repartie dans l’ensemble du jeu. Vous allez à la fois avoir des activités par rapport aux recettes évidemment, aux ustensiles, à la préparation (alors évidemment comment remplacer le sucre dans les recettes ? Donc ça je pense que c’est un sujet d’actualité) même utiliser les aliments voir comment on peut utiliser des aliments dans des décorations même je m’en souviens. Alors il y a quelque chose aussi qui m’a beaucoup plu c’est finalement obliger l’enfant – enfin obliger l’enfant … comment dire … sensibiliser l’enfant – par rapport à tous ce qui est odorat, goût. Parce que moi je dois avouer que le matin, déjà dans mon cas personnel, je parlais de mon cas personnel, on prend du temps pour le petit déjeuner donc ça c’est clair à un moment donné si vous voulez que votre enfant déjeune avant de courir à l’école et qu’il déjeune sainement (on s’entend bien évidemment mais pas avec la tartine à la confiture ou le pain au chocolat), il faut quelque part qu’on va devoir prendre un peu de temps et préparer une assiette complète.
Mais je vois malgré tout que, que ce soit le matin ou que ce soit plus tard dans la journée quand les enfants mangent, ils ont tendance à vous expliquer leur journée (c’est bien s’ils vous expliquent leur journée mais malgré tout cela veut dire qu’ils parlent ils parlent ils parlent) chacun son temps de parole et je sais que je vois mes enfants manger finalement très rapidement sans vraiment sentir ce qu’ils mangent. Et alors, quelque part on dit : mais attendez, quel est le goût que vous avez en bouche ? Est-ce que c’est du salé ? Est-ce que c’est du sucré ? Est-ce que c’est de l’amer ? Et tout d’un coup vous voyez vos enfants qui vont avoir tendance à mâcher plus lentement pour essayer de répondre à la question que vous venez de leur poser. Et donc c’est bien la preuve que je pense que les enfants ne sont plus du tout sensibiliser au goût des choses. Et là aussi, il y a des activités comme ça par rapport au goût, à l’odorat. Ça, c’est quand même encore quelque chose de tellement rare donc c’est assez complet.
Je ne sais pas si tu vas ajouter quelque chose par rapport à ça. C’est aussi une idée assez brillante parce que finalement ce n’est pas assez développé je pense.
N : Ouais, c’est vraiment prendre l’alimentation dans sa généralité. Et c’est vrai qu’on a tendance à manger de manière automatique ou de faire toujours les mêmes plats pour les enfants avec ce qu’ils aiment. Et au final on va lui donner un légume, il ne va pas l’aimer, on ne va plus l’acheter et finalement il ne va jamais prendre le temps de le re-goûter ou te dire « tiens oui, je pourrais l’aimer un peu plus ». J’ai l’exemple de ma grande fille qui au début n’aimait pas le brocoli, et j’ai continué à en cuisiner et en cuisiner puis c’est devenu « ok, là je le tolère. Ça va » et il y a quelques jours elle m’a dit « Ah maman, maintenant en fait j’aime bien le brocoli ». Et donc c’est vraiment essayer et essayer encore. Et ici il y a ce côté-là de prendre part le jeu où finalement on a reçu le témoignage d’une petite fille qui a fait sa pizza aux légumes, qui n’aimait pas la courgette. Elle en a mise et ben elle a adoré et en redemande pour faire une pizza aux légumes régulièrement.
Et donc c’est vraiment partir sur cette idée de jeu. Pour entraîner l’enfant à faire ces 15 activités, on a mis histoire autour d’une petite magicienne Louison et il faut l’aider à ….
S : D’où le chapeau.
N : D’où le chapeau. Et il faut l’aider à retrouver l’ingrédient magique qu’elle a oublié à cause du sorcier Griphosate. Et donc ça va entraîner …
S : Nom tout à fait choisi par hasard.
N : Tout à fait. Et donc il faut que l’enfant aille au bout des 15 activités pour aider la magicienne Louison et à la fin des 15 activités et puis nous envoyer en fait les petites étiquettes qu’il a réussi et nous on lui envoie les diplômes.
S : ça c’est sympa aussi ce côté interactivité. Se dire que ce n’est pas fini à la fin du jeu, qu’il y a une possibilité d’aller plus loin, qu’il y a une interactivité aussi par rapport au défi qui est aussi mis en place. Et moi je trouve c’est très intéressant d’utiliser … par rapport aussi au fait de s’habituer à un mot. Parce que c’est vrai qu’on a tendance à oublier de sensibiliser l’enfant par rapport au goût mais en plus de ça, on oublie que nous-mêmes la première fois qu’on a goûté un aliment, on ne l’a pas forcément aimé et pourtant par la suite on s’y est habitué finalement au point que, quelque part, on ne pourrait plus s’en passer. Moi j’ai des aliments aussi en tant qu’adulte que je détestais au début et que maintenant, je mets dans tous mes plats.
Donc je pense aussi que là il faut savoir que le cerveau quelque part, il doit s’habituer au nouveau goût. Quand il a un nouveau goût, c’est vrai qu’il va de prime abord alors soit il va adorer mais en général il va souvent avoir tendance à le rejeter mais petit à petit si vous le représenter sur la table – et même de différentes façons – quelque part le cerveau va s’habituer. Il va s’habituer et vous pouvez du coup varier beaucoup plus aussi ce que vous donnez à vos enfants.
Ce serait que sinon on leur donnerait tout le temps la même chose parce que quelque part c’est toujours les mêmes aliments qui reviennent et qui leur plaît.
Alors, il y a quelque chose aussi – évidemment c’est beaucoup plus en lien avec les neurosciences – qui m’a beaucoup plus dans ce jeu. C’était par rapport au … Donc le fait de faire participer l’enfant, c’est aussi lui dire que quelque part, on va ensemble choisir la recette, on va finalement préparer la liste d’ingrédients qui est utile et la liste d’ustensiles aussi qu’il faut présenter sur la table. Donc on va peut-être même aller au magasin voir s’il ne manque par l’ingrédient ou l’autre. Ensuite, quand votre enfant va suivre avec vous la recette c’est comme si il suivait un protocole (en laboratoire, on parle de protocole opératoire) et donc là quelque part typiquement c’est le genre d’activité super simple, gratuite, qui va entraîner ce que l’on appelle chez lui son « contrôle exécutif ».
Donc le contrôle exécutif, si vous avez déjà un peu suivi les vidéos du blog des-outil-pour-apprendre, ce sont vraiment tous ces savoir-être, ces compétences qui vont aider votre enfant à apprendre dans tous les domaines. Donc c’est vraiment apprendre à apprendre. Ça va lui permettre de réguler son comportement, ça va lui permettre de choisir les bonnes stratégies d’apprentissage et il est vrai que quand on a des enfants (surtout en bas âge), le contrôle exécutif chez eux n’est pas du tout mature donc ça dépend d’une zone du cerveau simplement qui est là, qui est développé mais qui n’est pas mature. Et donc c’est pour ça que vous avez des enfants, qui parfois, vous êtes au téléphone et ils ont envie de vous interrompre parce qu’ils ont envie de vous dire quelque chose absolument à ce moment-là. Vous avez des enfants qui sont moins attentifs en classe, vous avez des enfants qui sont plus agités de manière générale et qui ont tout simplement du mal à se focaliser sur leur tâche.
Et bien le contrôle exécutif – quand on l’entraine – peut vraiment aider votre enfant à se focaliser, à apprendre à apprendre. Et typiquement – alors il y a beaucoup d’activités qui peuvent l’aider – le fait de planifier une tâche, le fait de suivre un protocole, le fait d’anticiper aussi des actions ça aide énormément cette partie de son cerveau.
Donc ça j’ai trouvé assez génial encore une fois de ne pas juste dire (c’est très bien aussi en soi) « On va préparer une recette avec son enfant et puis euh … on va cuisiner avec lui » même peut-être pas préparer la recette ou préparer la préparation, on va juste faire une préparation avec lui, on va faire une recette. Non, c’est vraiment de dire on part vraiment du point A jusqu’à la dernière étape. On va vraiment voir quels sont les ingrédients qui nous manquent ? Tous les ustensiles sont-ils sur la table ? Etc… Donc ça encore une fois, j’ai trouvé que ça rendait le jeu très complet.
Je ne sais pas ce que tu en penses ? Est-ce que c’est quelque chose auquel vous avez pensé ou c’est juste l’inspiration ? Vous vous êtes dit : non, ça aussi c’est important de préparer les ustensiles.
N : Ben on n’y a pas pensé jusqu’à ce que tu dises le contrôle exécutif mais par contre ouais, il y a tout le côté autonomie qui fait que c’est apprendre à l’enfant à se débrouiller en cuisine et quelque chose qui lui servira toute sa vie. Et aussi se dire : « tiens en fait, cuisiner ben ça peut être chouette. Ça peut-être une activité qui me plaît et pas juste on cuisine parce qu’on doit manger ». Il y a tout ce côté et il y a ce côté complicité avec le parent aussi. Donc moi je cuisine régulièrement euh … voilà par exemple des pâtisseries ou autres avec mes enfants et donc on en profite pour discuter, pour passer un moment ensemble et donc c’est avancer dans les tâches qu’on doit faire le soir en rentrant chez soi mais tout en passant un moment avec ses enfants. Et donc ça arrivait à lier les deux et donc on gagne deux fois plus de temps parce qu’on fait les deux en une fois. Et si l’enfant (même l’ado ou le pré-ado) n’est pas … voilà … ne parle pas beaucoup de sa journée en regardant les yeux dans les yeux ce qui se passe …
S : Toi il ne te parle pas beaucoup parce que moi ça n’arrêtes pas. (Rires) Je ne sais plus quoi faire.
N : Mais du coup, ça permet de discuter un peu des points sensibles de son enfant tout en cuisinant sans le regarder donc d’amener certains sujets de manière naturelle.
S : Donc toi c’était vraiment au départ le côté ludique et complicité alors que moi évidemment je vois le côté apprentissage avant tout mais bref, déformation professionnelle. Mais oui, effectivement et les deux sont certainement très complémentaires aussi. Le fait d’avoir cette complicité ça permet quand même aussi à pas mal de choses d’êtres dites. Mais c’est vrai que voilà, souvent au départ (c’est pour ça que je cherchais ce jeu depuis très longtemps. Je regardais un petit peu autour de moi sur internet), quand on fait ne pâtisserie comme tu dis avec son enfant, c’est « bon viens, rajoutes les trois œufs » et puis basta. En fait, il a rajouté ces trois œufs, il était très content et il repart. Mais là vraiment c’est vraiment tout au long de l’activité, c’est vraiment la complicité et encore une fois, moi je vois plutôt le côté apprentissage, le contrôle exécutif et tout.
Et c’est fou parce que les parents ne savent pas à quel point parfois des activités vraiment toutes simples peuvent tellement aider leur enfant sur différents plans. Comme tu disais, le fait de pouvoir dire ce qui s’est passé durant la journée, de l’autre côté, le fait de pouvoir entraîner une partie du cerveau et finalement permettre à l’enfant d’apprendre beaucoup mieux par la suite.
Voilà, les parents parfois cherchent des activités très sophistiquées, des choses très complexes, parfois malheureusement aussi ils se font happer un petit peu par des tendances mais pourtant il y a des choses qui sont à portée de mains et qui sont tellement intuitives et tellement efficaces.
Donc vraiment moi, ce jeu je dois avouer que j’y ai retrouvé tout ce que je cherchais et même plus que ce que je ne cherchais. Des choses mais je me suis dit « mais oui, c’est tellement évident ». Non vraiment bravo à toutes les deux pour ce que vous avez fait …
N : Merci.
S : … parce que je pense que c’est vraiment une activité aussi à faire avec vos enfants quand vous avez une période de congé, quand vous avez voilà … je ne sais pas si tu veux en parler, on peut trouver ce jeu où ?
N : En fait, on peut le trouver sur internet – tu mettras peut-être le lien en dessous – donc Lucile et moi on a chacune notre blog et on a créé un blog en commun où on a mis nos différentes formations et livres. C’est www.nutri-lunch.com et donc là vous pouvez trouver le jeu. Et en fait à la base on l’avait aussi développé euh … on disait voilà vous pouvez le faire sur 15 jours des vacances donc ça occupe bien les enfants donc c’est vraiment une activité par jour mais il y a moyen aussi d’utiliser soit le weekend soit le mercredi. Voilà il y a le défi des pizzas ben on peut se dire « vendredi soir on fait ce défi là ». Et donc il y a vraiment un moyen d’intégrer les différents défis à tout moment.
S : A tout moment. Ça c’est bien pour l’organisation des mamans effectivement. Donc n’hésitez pas, je mets sous cette vidéo le lien sous lequel vous pouvez trouver toutes les informations par rapport à ce jeu.
Je mets le lien aussi vers vos deux blogs comme ça je pense que les mamans pourront aller voir. Il y a énormément d’idées. Il y a encore des questions d’ailleurs que je te poserais après la fin de cette vidéo.
N : D’accord.
S : Donc voilà c’était Sarah Carpentier du blog des-outils-pour-apprendre.
N : Et Nathalie du blog NutriMomes.
S : Je la laisse se présenter toute seule. Voilà. Donc n’hésitez pas, aller voir. Je pense que vous allez être assez scotchés par ce jeu qui est à la fois ludique, original, très complet et qui a un lien avec le fonctionnement du cerveau sans qu’on s’en rende compte finalement mais voilà. Merci beaucoup.
Vacances de la Toussaint et occupation des enfants … vous êtes en panne d’inspiration ?
Références et remerciements
Merci à Nathalie Mertens et Lucie Baladier d’avoir bien voulu m’accorder cette interview.
Pas de références de la littérature scientifique pour cet article qui se veut essentiellement être la vitrine de mes trouvailles en ce qui concerne le matériel et les activités pédagogiques mais si vous voulez en savoir plus sur le contrôle exécutif dont il est également question dans cet article, n’hésitez pas à lire ceci …